Sommaire :

Partie 1 - Par Jean François Aupetitgendre.
De la société marchande à la société de l’accès
Ne réparons plus ce qui nous a détruits !…

Introduction :
Des problèmes mal posés

A. Le constat
1. Le pouvoir
2. Le patriarcat
3. Les inégalités sociales
4. La corruption…
5. Les lobbies…
6. Le logement…
7. L’offre et la demande
8. L’argent sale
9. L’écologie
10. La technologie : salut ou perte ?
11. Le prix des choses
12. La paix dans le monde
13. Un monde violent par nature ?
14. Une juste économie
15. Le salariat
16. Le permafrost
Conclusion provisoire
  B. Alors on fait quoi ?
1. La rupture pour vivre
2. L’accès
3. Pourquoi l’accès ?
4. Tordre ou accepter la réalité ?
5. Tout le monde ou personne
6. Salariat ou activités ?
7. Les Institutions
8. Les alternatives
9. Exponentielles et entropie
10. Relance ou austérité
11. Refaire le monde
12. Des échanges internationaux
13. N’y a-t-il pas plus simple ?…
14. L’alter-capitalisme ou l’utopie ?
15. Une nouvelle sémantique
16. Une prospective expérientielle
17. Désargence, mode d’emploi
Conclusion

Partie 2 - Par Marc Chinal
Même si la marche est plus haute, au moins elle est plus stable
Continuons la progression de l’Humanité en passant au stade postmonétaire

Préambule rapide et décalé
Avant-propos : faire société humaine

Chapitre 1 :
La naissance des monnaies : dettes ? Échange ?
La mécanique de la monnaie
La monnaie, outil psychologique à double tranchant
La notion de « juste prix »
Et la notion de réussite dans tout ça ?
La monnaie organise la pénurie de deux manières
Surconsommation ou abondance sereine
Le stock est un ennemi dans un monde monétaire
« Viens, que je te masturbe l’ego ! »
La connaissance est une richesse monétaire à ne pas partager
C’est grâce à l’argent qu’on a des objets !
Les consom’acteurs
L’égoïsme est une qualité
La monnaie et le rapport biaisé au temps
Finances solidaires, économie solidaire : du « coinwashing »
Liste des problèmes liés directement à l’usage de monnaie
Qu’est-ce que la vitesse de rotation monétaire ?
Croissance économique obligatoire
Intérêts zéro
Faut-il alors bloquer les prix ?
Le salaire à vie, ou le mythe de créer de l’argent uniquement en proportion de la production créée
Une civilisation postmonétaire
Besoins, désirs – piscine et lieux d’exception
Quelle est l’importance du facteur humain dans « la guerre » ?
Violence et démocratie réelle directe

Chapitre 2 :
Une civilisation de l’accès
Principe fondateur d’une civilisation de l’accès
La démocratie réelle directe
La réciprocité et le temps de travail
La peur du fainéant
La peur de la violence
Une civilisation de l’accès sera-t-elle une civilisation de l’excès ?
Tous dans les champs ? Que deviennent les villes ?
Les différents chemins de la transition
La démonétarisation sous forme d’oasis
Par quoi commencer pour établir une oasis postmonétaire ?
Qui peut devenir membre intégré/actif au projet (travaillant sur le lieu) ?
La formation des personnes entrant dans le lieu ainsi que celles désirant participer
Le mot « communauté »
La propriété : que deviennent usus, fructus, abusus ?
Le marché postmonétaire
Que deviendrait le commerce international dans un système postmonétaire ?
Travailler ensemble, est-ce possible sans monnaie ?
Que deviennent les vacances ?
« Femme au foyer » ou « homme au foyer », est-ce un métier ?
Dans les situations de handicap ?
Liberté d’entreprendre ou économie de plan ?
L’activité artistique ?
Faut-il convaincre, et si oui, comment ?
Les mathématiques et la logique à la rescousse ?
L’émotion, puissant moteur dont il faut se méfier tout en le prenant en compte
Ma journée dans une société de l’accès

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288 pages
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Dos du livre :

Du Code de Hammourabi babylonien datant d’environ 1750 avant notre ère, jusqu’au FMI high-tech actuel, l’humanité n’a cessé de réguler/déréguler l’échange marchand et les monnaies afin que le monde devienne plus serein. Des héros, des intellectuels, des révolutionnaires ont tenté de replâtrer, corriger, réparer cette organisation sociétale qui aujourd’hui détruit humains et environnement. Comble d'une situation kafkaënne, on sait qu’il faut décroître nos consommations mais le système nous l’interdit sous peine d’effondrement.

4 000 ans d’échecs en prétextant que c'est toujours de la faute des autres, doivent nous faire comprendre qu’il n’y a plus d’autre choix que d’abandonner cette organisation.
Mais pour aller vers quoi et comment ?

Deux auteurs aux parcours différents proposent une autre perspective : passer de l’échange marchand, qui paralyse et engendre des ennemis, à l’Accès qui dynamise et soutient une réelle coopération. Thomas More (1516), Edward Bellamy (1887), Denis Blondin (2003), (...) avaient déjà émis l'hypothèse, mais c’est la première fois dans l'histoire de l'Humanité que nous avons à la fois l’expérience, le savoir, la technologie et l’aiguillon du danger pour effectuer cette avancée.

 

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Réfléchir n'a Jamais Tué Personne.